Créée en 1962, la Coopérative Régionale des Vins de Champagne (CRVC) regroupe aujourd’hui plus de 755 adhérents dont 22 coopératives locales pour une surface totale engagée de près de 900 Ha. La CRVC dispose actuellement d’un outil de production particulièrement performant. Elle est équipée d’une cuverie thermorégulée de 123 000 hL, de caves sur 3 niveaux pouvant accueillir 29 millions de bouteilles, d’outils de contrôle à chaque étape de l’élaboration des vins garantissant la productivité, la sécurité et la traçabilité. Forte de ses 50 ans d’expérience, la Crvc entre dans une ère nouvelle et se veut une entreprise coopérative toujours plus proche de ses adhérents et de ses clients. La Crvc inscrit sa stratégie dans la diversité de ses activités réparties en 4 grands secteurs : l’activité commerciale représentant 40% de son chiffre d’affaires, les contrats avec le négoce, les prestations aux adhérents et les transactions ponctuelles.

La gestion de la production en point de mire

Evoluant depuis longtemps sous un système AS400 développé par ses soins et face au besoin d’optimiser ses flux et d’informatiser la gestion de sa production, la coopérative décide en 2008 de refondre son système d’information. « Nous étions en quête d’un ERP pouvant améliorer significativement les circuits fonctionnels entre les différents services au sein de notre structure. Certaines fonctionnalités étaient indispensables pour nous. La solution devait être en mesure de gérer les besoins liés au stock de droits de nos adhérents, la production avec une planification en fonction des portefeuilles de commandes, les achats intégrés, la comptabilité analytique et la gestion de la relation client. » explique M. Baudouin, Secrétaire Général au sein de la coopérative.

Un ERP adapté au Champagne

Divalto est choisi pour sa large couverture fonctionnelle ainsi que la qualité, la proximité et les bonnes connaissances du milieu viti-vinicole de son intégrateur Ebc. « Ebc connaissait bien les contraintes d’une coopérative et son mode de fonctionnement, ainsi que les spécificités liées au domaine du champagne. A cette période, Ebc travaillait déjà sur sa solution métier Divalto Champagne. C’est une équipe compétente et stable en qui nous avons une entière confiance. Divalto nous a semblé être la solution idéale, simple, accessible, et capable de s’adapter à notre métier. » commente M. Baudouin.

Un déploiement en douceur

Le déploiement de Divalto a commencé avec le remplacement du fonctionnel existant sous AS400 pour évoluer ensuite progressivement vers des fonctionnalités plus avancées et par la mise en place de modules intégrés.

La gestion des achats et de la production, fonctions indispensables pour la Crvc, ont rapidement été mises en place. «Auparavant pour lancer une fabrication de bouteilles habillées nous devions interroger la disponibilité de chaque élément permettant de produire cette bouteille (la bouteille nue, son étiquette, sa collerette, …). Aujourd’hui avec Divalto la recherche est instantanée, nous avons une vision claire de ce dont nous avons besoin et de la disponibilité des produits. Ainsi en fonction des ruptures de stock de matières premières, nous pouvons lancer via le module achat, les ré-approvisionements nécessaires. Nous gagnons ainsi un temps considérable, et la fluidité des informations s’est nettement améliorée. L’ERP a apporté une véritable valeur ajoutée avec l’intégration de tous les modules au sein d’un système unique. » précise M. Baudouin.

« Divalto nous a semblé être la solution idéale, simple, accessible, et capable de s’adapter à notre métier. »

Satisfaite de Divalto et de sa collaboration avec Ebc, la Crvc ne compte pas s’arrêter là. « Nous venons de changer de version de Divalto avec l’aide d’Ebc toujours présent à nos côtés dans la mise en œuvre de nos projets. Nous mettons actuellement en place le CRM afin de renforcer notre activité commerciale. Divalto est un bon produit qui répond à nos besoins, nous ne nous sommes pas trompés dans notre choix. Il a nécessité une phase d’adaptation de nos organisations afin d’en tirer les bénéfices maximums. » conclut M. Baudouin.